Ouvrières, employées ou cadres, les femmes sont toutes confrontées au sexisme et aux violences dans le travail. Cela a notamment pour conséquence de remettre en cause leur professionnalisme, les assignant à une position d’infériorité, à des tâches subalternes.Trop souvent, c’est la victime qui est sanctionnée, déplacée ou licenciée, pas l’agresseur.En 2019, la CGT, avec la Confédération Syndicale Internationale, a gagné l’adoption de la première loi mondiale contre les violences et le harcèlement dans le monde du travail, la 190ème convention de l’Organisation Internationale du Travail.