Dans les secteurs de la Santé, du Médico-social et du Social.
Des milliers d’emplois pour résorber le désarroi !
Pour la CGT, le protocole d’accord sur « Carrières et Rémunérations » et le « Ségur de la Santé » ne sont pas satisfaisants du tout, voire inadaptés aux demandes et revendications des personnels de ces secteurs d’activité. Les récentes décisions du gouvernement et du patronat montrent qu’ils sont toujours hostiles aux exigences des professionnel. le.s des établissements de Santé du sanitaire, du médico-social et du social public et privé, et qu’ils n’ont pas la réelle volonté d’améliorer notre système de santé et de protection sociale. Depuis des années, les professionnel.le.s du secteur médico-social, du social et du handicap doivent faire face à des prises en charge de plus en plus difficiles : troubles du comportement, population vieillissante, etc. Trop souvent oublié.e.s et invisibles, elles et ils doivent être considéré.e.s et reconnu.e.s au même titre que tou.te.s les acteurs du soin. Quant à l’hôpital et aux établissements du public, ils croulent sous une activité
exponentielle depuis la pandémie de covid-19 sans avoir les moyens humains et matériels nécessaires.
Les salarié.e.s, toutes catégories confondues, n’en peuvent plus de devoir supporter la dégradation de leurs conditions de travail sans aucune amélioration en vue.
Soyons mobilisé.e.s à Paris et ailleurs le 15 octobre !
Ce ne sont pas les augmentations de salaire, obtenues seulement pour certain.e.s, qui vont faire taire les professionnel.l.e.s en colère. Le MANQUE D’EFFECTIF récurrent partout dans les services et les établissements est INACCEPTABLE et ne peut plus durer face à un gouvernement qui continue à communiquer qu’il maitrise la situation et à régler tous les problèmes grâce au « Ségur de la Santé ».
Fraternellement
Stéphane GAUBERTI Secrétaire général CGT du CHU de NICE
Quatre mois sont passés depuis la 1ère vague COVID. Ce temps aurait dû servir à se préparer à une seconde vague qui faisait partie des scénarios probables. Aujourd’hui sans réels moyens supplémentaires nous devons faire face à la crise COVID sans pouvoir cette fois interrompre les autres prises en charge ayant déjà souffert de trois mois d’interruption.
Le plan blanc est déclenché depuis le 28 août dans le département mais la direction générale du CHUN a attendu le 19 septembre pour annoncer l’ouverture de 10 lits HET (cela faisait une dizaine de jours que nous avions jusqu’à 17 patients hospitalisés et jusqu’à 8 patients en réanimation).
► Le même jour (un vendredi c’est toujours pratique), comme 1ère mesure, l’administration a demandé aux encadrements de solliciter les agents pour se rendre disponible et venir en renfort (parfois le soir même). C’est un coup dur pour les équipes qui sentent que leurs limites sont atteintes. Or, ni au CHU, ni dans le département les besoins en personnels n’ont été réellement anticipés.
► Encore une fois l’administration compte sur la disponibilité des personnels pour assumer la crise à moyens constants ou presque.
► MAIS le personnel est à bout de souffle, la fatigue s’est accumulée. Face aux mauvais choix de l’administration en terme de gestion des personnels et de prise en compte des besoins, une colère et un manque de confiance se sont installés.
► Les agents veulent pouvoir remplir leurs missions de service public mais de plus en plus d’entre eux font part de leur impossibilité de trouver l’énergie nécessaire pour redoubler encore une fois leurs efforts, ressentent que leurs limites physiques et psychologiques sont atteintes. Ils ont besoin de respect et de compréhension et pas de pressions négatives, ils ont besoin de visibilité et d’espoir de renforcement en moyens humains et matériels.
LA POPULATION COMPTE SUR NOUS !
NOUS DEVONS POUVOIR COMPTER SUR LES DIRIGEANTS !
Oui la situation est difficile mais il faut se préparer à tenir sur le long terme. Pour cela nous devons nous protégeret exiger une anticipation et une visibilité des réorganisations prévues qui nous permettent de nous projeter sur la montée en charge des mesures.
C’est aussi et surtout le déblocage de moyens humains supplémentaires qui doit devenir effectif rapidement. Ils doivent tout mettre en place pour protéger le plus possible les temps de repos et la vie privée des hospitaliers s’ils veulent que l’on puisse tenir sur la durée.
C’est aussi le déblocage de moyens humains et matériels qui nous permettra d’ouvrir les lits nécessairespour assumer les prises en charge COVID et toutes les autres.
⇒ Il faut embaucher dans tous les grades, notamment des ASH dont nous manquons cruellement, qui sont essentiels aux services et dont le recrutement est plus facile que certaines professions en tension.
⇒ Il faut clarifier et amplifier nos capacités de renforts extérieurs de personnels qualifiés, peut être en envisageant leurs réquisitions si nécessaire.
Le plan blanc recense l’ensemble des moyens matériels et humains susceptibles d’être mobilisés et définit les conditions de leur emploi (art R3131-13 du code de la santé publique ; décret 2005-1764 du 30 décembre 2005 ; circulaire DH/DGS du 24 décembre 1987).
Le plan blanc au CHU de Nice n’a pas été revu depuis 2013 alors qu’il doit être réactualisé chaque année et présenté aux instances représentatives des personnels.
Depuis le début de la 1ère crise, les représentants du personnel se battent pour tenter d’être consultés et informés sur les mesures prises et celles à prendre.
PLAN BLANC ET RAPPEL A DOMICILE : Les règles
En situation normale le rappel à domicile n’est autorisé qu’aux personnels soumis à astreinte dont la liste est fixée par chaque établissement (Décret 2002-9 du 04 janvier 2002 ; arrêté du 24 avril 2002) et rémunéré pour compenser la mise à disposition.
Dans le cadre d’un plan blanc les règles autorisant les appels à domicile pour venir renforcer les équipes sont assouplies. Pour autant les Directions ne peuvent pas tout faire. Cette procédure est très encadrée notamment par la Circulaire 2002-284 du 3 mai 2002 (extrait ci-contre)
Les messages pour mobiliser le personnel peuvent être abusifs
… « Dans la perspective d’un rappel du personnel, notamment en cas de catastrophe nocturne ou durant des jours fériés, une procédure téléphonique doit être prévue sur la base d’un message préétabli et simple. Une procédure reposant sur la démultiplication des appels semble la mieux adaptée pour toucher rapidement le personnel nécessaire. Afin de permettre ce rappel téléphonique, les listes des coordonnées ne doivent être communiquées qu’aux personnes appelées à en connaître. Chaque établissement arrête le lieu de dépôt de cette liste fixe, les modalités permettant, à tout moment, à la cellule de crise et au standard d’en prendre connaissance. Les personnels inscrits sur « la liste rouge » des abonnés du téléphone ne sont pas tenus réglementairement de communiquer leur numéro de téléphone. Toutefois, les conditions relatives à l’obligation de service légitiment la communication de cette information à l’établissement. Afin de concilier le caractère confidentiel de données personnelles et la possibilité d’être joint en cas de rappel, ces listes sont placées sous enveloppe scellée, à n’ouvrir que sur ordre du Directeur. Le responsable de l’actualisation de ces listes est identifié et le protocole y afférent, rigoureusement défini… »
► On vous dit que vous êtes réquisitionné
C’EST FAUX : Il ne s’agit pas de réquisitions. Seul le préfet à un pouvoir de réquisition sur les personnels des établissements publics, privés et ou sur les libéraux(alinéa 4 de l’article L2215-1 du code général des collectivités territoriales). Le CHU de Nice n’a donc aucune possibilité de « réquisitionner le personnel », il fait appel auvolontariat, aux agents disponibles.
► On vous dit : « maintenant que je vous ai eu au téléphone vous êtes obligé de venir ! », certain-es cadres zélé-es rajoutent même « sinon je vous envoi la police » (ben voyons !)
C’EST FAUX : faire appel au volontariat c’est tenir compte de la disponibilité des gens qui doivent donc pouvoir refuser la mission sans forcément être obligé de motiver leur refus. C’est pourquoi la circulaire ci-dessus citée préconise la démultiplication des appels.
Les agents hospitaliers ne sont pas obligés de donner leur numéro de téléphone à l’administration mais « incités à ». D’autre part des raisons personnelles peuvent pousser le personnel à se déclarer dans l’impossibilité de répondre positivement à la sollicitation sans devoir préciser ces raisons. Cela s’appelle la protection de la vie privée.
PLAN BLANC : autres mesures de gestion des personnels
► Roulement de travail en 12H pour les services de soins et médico-techniques
► Interruption des temps partiels (nécessite l’accord de l’agent pour les temps partiels de droit dans le cadre d’un congé parental ou pour les parents d’enfants de moins de 3 ans)
► Interruption des congés annuels et jours de RTT
► Suspension des disponibilités, détachement, mutation et retraite
► Sur consignes du ministère déplafonnement des heures supplémentaires
En 2ème mesure, l’Administration a choisi d’imposer aux IDE et AS la programmation sur les plannings, à priori pour le moment jusqu’au 31 octobre, de 12 Heures supplémentaires par mois.
► L’utilisation des HS est normalement au volontariat. Par contre, c’est un moyen de rémunérer l’effort demandé au personnel avant de devoir éventuellement annuler les RTT ou autres congés.
MESURES AU DELÀ DU PLAN BLANC
Comme lors de la 1ère vague des recrutements de personnels extérieurs sont envisagés. Les 274 personnes contactées lors de la 1ère vague ont été recontactées :
⇒17 sont disponibles pour prendre un poste pérenne rapidement (11 AS et 6 IDE)
⇒22 AS disponibles pour des missions ponctuelles
⇒40 IDE et IADE disponibles pour des renforts ponctuels
Fraternellement
Stéphane GAUBERTI Secrétaire général CGT du CHU de NICE
Après de multiples relances de notre part et de la part d’autres organisations syndicales, le patronat consent enfin à ouvrir ce sujet à la négociation ! Pour la CGT, l’urgence est de mettre en place, via un accord majoritaire, des dispositions normatives qui couvrent indistinctement l’ensemble des télétravailleur.euse.s, des itinérant.e.s et des travailleur.euse.s mobiles, quels que soient leur secteur d’activité, leur catégorie professionnelle et/ou leur métier.
Le 23 mars 2020, le ministre de la Santé déclarait : « Pour tous les soignants qui tombent malades, le coronavirus sera reconnu comme maladie professionnelle. C’est la moindre des choses, il n’y a aucun débat là-dessus. »
Mais, signe de mépris pour ceux qui se sont exposés au danger, ce gouvernement sans parole ni honneur décide en août, sans vergogne, de limiter cette reconnaissance uniquement aux soignants décédés ou placés sous assistance respiratoire.
Les professionnels exerçant dans le secteur de la santé peuvent bénéficier d’une reconnaissance selon deux conditions cumulative :
⇒ D’une part, leur contamination au Covid-19 a eu lieu dans le cadre de leur travail ;
⇒ D’autre part, leur contamination au Covid-19 a entraîné une affection respiratoire grave avec recours à l’oxygénothérapie ou toute autre forme d’assistance respiratoire.
Si ces 2 critères ne sont pas réunis (sauf en cas de décès), le caractère professionnel de la maladie n’est pas reconnu.
Pour effectuer la demande, il faut joindre les documents suivants nécessaires à l’étude du dossier :
► Le certificat médical initial (CMI) établi par le médecin traitant, qui pose le diagnostic de Covid-19 et qui mentionne les éléments cliniques ou les examens ayant permis de poser ce diagnostic ;
► Un compte rendu d’hospitalisation mentionnant le recours à l’oxygénothérapie ou à une assistance ventilatoire et le diagnostic Covid-19 lorsque c’est le cas. Si l’oxygénothérapie a été effectuée en dehors d’un cadre hospitalier (par exemple, à domicile), le médecin traitant devra inclure cette information dans le CMI ;
► Un justificatif d’activité professionnelle :pour les professionnels de santé et personnes salariées exerçant dans le secteur des soins : une attestation de l’employeur mentionnant l’emploi et les périodes d’absence en 2020,
► Seulement pour les ayants droit d’une personne décédée du Covid-19 : une copie du certificat de décès du proche concerné, en plus des pièces demandées précédemment.
Les personnes infectées par le Covid-19 dans le cadre de leur activité professionnelle doivent réaliser une déclaration sur le site internet : « declare-maladiepro.ameli.fr »
Niveau 1 – zone A centre de prelevement – permanence l’apres midi assuré par la medecine preventive de 13h30 à 17h00 – Rendez-vous obligatoire ! TEL: 39863
POUR L’EMPLOI, LES SALAIRES, DE MEILLEURES CONDITIONS DE TRAVAIL, POUR L’AMÉLIORATION DE NOTRE SYSTÈME DE SANTÉ ET D’ACTION SOCIALE !
Les salarié.e.s de nos secteurs du sanitaire, médico-social et social public et privé sont essentiels notamment pour garantir à toutes et tous l’accès aux droits sociaux et aux soins. Les professionnel.le.s continuent à se dévouer corps et âme pour assurer une prise en charge de qualité et un accueil digne de la population pendant cette période de pandémie COVID 19 qui persiste et dure depuis le début de cette année.
Mais combien faudra-t-il de temps, de crises pour que le gouvernement change radicalement de politique sociale et de santé, de politiques en matière d’emploi pour faire face à la crise sociale qui se rajoute à la crise sanitaire ?
La Fédération de la Santé et de l’Action Sociale appelle à participer activement à cette nouvelle journée nationale interprofessionnelle de grève et de manifestations inscrite dans un processus de luttes qui devra se renforcer les prochains mois dans tous les secteurs professionnels, pour peser véritablement et empêcher la crise sociale de s’amplifier.
Il est temps de faire vivre nos propositions et revendications CGT pour une société plus juste :
► Augmentation significative des salaires pour toutes et tous !
► Travailler moins (32h00) pour travailler mieux et des emplois pour toutes et tous !!!
► Un système de santé et de protection sociale avec des moyens pour répondre aux besoins de toutes et tous, accessible et dans la proximité !
Toutes et tous dans les actions proposées par la CGT Les mardis de la colère, ça continue !!! Hôpital de l’Archet ►13h30 au niveau de l’Arrêt de bus / Taxi de l’Archet 2 Hôpital de Pasteur / Cimiez ► 9h30 / 11h sur la parvis de P2
Fraternellement
Stéphane GAUBERTI Secrétaire général CGT du CHU de NICE
La CGT a été reçue hier à 14h dans le bureau du Directeur Général et a dénoncé avec fermeté les mauvaises conditions de travail que les agents de tous grades subissent depuis plusieurs années et tout particulièrement depuis la crise COVID.
NOUS AVONS DÉNONCÉ :
► Le conflit social qui dure depuis trop longtemps dans cet établissement ► Le manque de personnels à tous les étages ► La fuite des agents tous grades confondus ► Le turn-over abusif jour/nuit ► La polyvalence à outrance dans les services ► Le non respect des plannings ► La surcharge de travail des ASHQ ► La difficulté à conjuguer vie professionnelle et vie privée ► Le manque de matériels récurrent malgré nos alertes lors des différents CHSCT et les engagements de la direction ► Le manque de perspectives de carrières par la possibilité d’accès à un grade supérieur notamment pour les personnels les moins rémunérés ► La qualification des absences durant la crise sanitaire qui a impacté les compteurs d’heure des agents ► Le manque d’accès à la prise en charge en promotion professionnelle d’aide-soignant et d’IDE
NOUS AVONS DEMANDE :
► La prime à 1500€ pour tous ► La requalification des absences sur AGILETIME permettant aux agents de percevoir la prime COVID dans sa totalité ► La tenue d’un CHSCT spécial COVID ► Que les agents ayant eu des absences depuis le 16 mars 2020 à fin décembre ne soient pas impactés sur la prime de fin d’année ► Une réunion mensuelle avec la Direction afin de négocier les cahiers revendicatifs de personnels secteur par secteur et d’avancer sur les déroulements de carrières, les mises en stage etc… ► L’ouverture de concours permettant l’accès à un grade supérieur ► La localisation d’un service « Hôpital en Tension » sur Pasteur au plus proche des Urgences en complément de l’Archet ► Une étude complète sur le télétravail pour tous les personnels éligibles et qui le souhaitent ► Que les agents occupant des postes ayant une technicité particulière puissent bénéficier du grade supérieur par le biais d’une formation, de l’ancienneté ou de la reconnaissance des acquis de l’expérience ► La rétroactivité de la prime d’insalubrité depuis quatre ans pour les personnels pouvant en bénéficier et qui en ont été écartés ► Que la prime Buzin soit enfin attribuée aux Brancardiers, à l’Imagerie d’Urgence etc…
NOUS AVONS DÉJÀ OBTENU :
► L’engagement d’un calendrier mensuel pour l’ouverture de négociation secteur par secteur à partir des cahiers revendicatifs des personnels (mise en stage, télétravail, concours, avancement de carrière…) ► La tenue d’un CHSCT spécial COVID courant octobre avec retour d’expérience sur la prise en charge de l’épidémie ► Une information régulière de l’évolution de la crise sanitaire avec explications des schémas organisationnels secteur par secteur ► La mise en œuvre de nouveaux lits d’aval post Urgences sur les sites de Pasteur et de l’Archet avant les fêtes de fin d’année ► L’obtention rapide de réponses concernant la prime Buzin ► La révision à la hausse des effectifs de tous grades ► L’accélération des mises en stage sur postes vacants
LES RÉPONSES NE SONT TOUJOURS PAS A LA HAUTEUR DES ENJEUX SOYONS VIGILANTS, MOBILISONS NOUS POUR LA PRISE EN COMPTE DE TOUTES NOS REVENDICATIONS LA CGT NE DONNERA JAMAIS UN CHÈQUE EN BLANC A LA DIRECTION, ELLE VEUT DES ACTES…
RAPPEL : LA CGT APPELLE L’ENSEMBLE DU PERSONNEL A MAINTENIR LA PRESSION LORS DES MARDIS DE LA COLERE DE 9H30 A 11H SUR LES PIQUETS DE GREVE ET A SE MOBILISER MASSIVEMENT POUR UNE JOURNEE NOIRE DANS LA SANTE
LE JEUDI 17 SEPTEMBRE A 10H00 PLACE MASSENA
Fraternellement
Stéphane GAUBERTI Secrétaire général CGT du CHU de NICE
Action des salariés sur leurs revendications au CHU de NICE. La lutte continue… ACTION 1 SEPTEMBRE – RV AVEC LA DIRECTION LE 9 SEPTEMBRE A 14H – CAHIER DE REVENDICATIONS – REACTIVATION DU PLAN BLANC
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