> INSCRIPTION AUX ÉPREUVES DE SÉLECTION POUR L’ADMISSION EN IFSI HORS PARCOURSUP

Pour les candidats justifiant de 3 ans de cotisations sociales et relevant de la Formation Professionnelle Continue:

Début des inscriptions:
Jeudi 20 janvier 2022

Clôture des inscriptions :
Mardi 8 mars 2022

IFSI du CHU de Nice
12 avenue de Valombrose
06100 NICE
Tel: 04.92.03.87.33

ifsi@chu-nice.fr
www.chu-nice.fr

Les dossiers doivent être restitués uniquement par voie postale ou dépôt dans la boîte aux lettres de l’IFSI.

Aucun dossier ne sera accepté en mains propres

Avis important !!!

Tous les dossiers doivent être postés au plus tard le Mardi 8 mars 2022 (à 23h59 cachet de la poste faisant foi)
Passé ce délai aucun dossier ne sera accepté. Tout dossier incomplet sera refusé.

Date de l’épreuve écrite
(lieu précisé sur la convocation)

SAMEDI 26 MARS:
APPEL DES CANDIDATS à 8h30


⇒ Sous épreuve de rédaction: de 9h30 à 10h00, candidats tiers-temps de 9h30 à 10h10
⇒ Sous épreuve de calculs simples: de 10h15 à 10h45, candidats tiers-temps de 10h25 à 11h05

Date de l’épreuve orale
(lieu précisé sur la convocation)

Du 28 MARS
au
12 MAI 2022

PASS SANITAIRE:
le candidat devra présenter un pass sanitaire en cours de validité, selon les modalités fixées au jour de l’épreuve. Il lui appartient de prendre les renseignements utiles (un IFSI ne saurait être tenu en défaut d’information sur ce sujet grandement médiatisé). Un défaut de validité du pass sanitaire entraine l’impossibilité d’accès à la salle d’examen et l’ajournement aux épreuves.

Fraternellement

Stéphane GAUBERTI
Secrétaire général
CGT du CHU de NICE

gauberti.s@chu-nice.fr

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> IMCOMPREHENSION ET COLÈRE EN RÉA ET SOINS CRITIQUES

RASSEMBLEMENT MARDI 1 FÉVRIER 2022
A 14H30 SUR LE PARVIS DE P2

Une fois de plus le gouvernement saupoudre et divise par le biais d'une prime Une fois de plus le gouvernement refuse de prendre les mesures qui s'imposent pour sauver l’hôpital

Il est inconcevable de diviser les équipes de réa et de soins critiques en ne reconnaissant pas au
même niveau l’ensemble des professionnels
qui y travaillent.
Les soins de qualité, c’est un travail pluridisciplinaire où chaque compétence est nécessaire pour sauver des vies.

Le premier ministre annonce, ce mardi 28 décembre, le versement d’une prime de 100 € net par mois pour les 24 000 infirmiers exerçant dans les services de réanimation et de soins critiques ! Alors même que la situation sanitaire et épidémique de cette 5ème vague fait éclater au grand jour le manque de personnel dans tous les grades et de lits dans toutes les spécialités. Situation qui s’aggravera lors de la 6ème vague si rien n’est fait.

La colère monte à l’hôpital ! La CGT dénonce depuis longtemps des effectifs insuffisants, un manque de reconnaissance des qualifications par une absence de reconnaissance salariale, une perte d’attractivité des métiers insuffisamment rémunérés et considérés, la dégradation des conditions de travail et l’insuffisance de lits pour répondre aux besoins en santé de la population. Ce ne sont pas des primes versées à quelques-uns qui vont inverser le manque d’attractivité de l’hôpital pour venir y travailler ou pour y rester surtout quand elles ne servent qu’à diviser les personnels.

AIDE SOIGNANT ET AUXILIAIRE DE PUÉRICULTURE UNE FOIS DE PLUS
CE GOUVERNEMENT AFFICHE UN MÉPRIS TOTAL ENVERS NOS PROFESSIONS

Cette prime bien qu’elle soit loin des revendications d’une augmentation de salaire de 300 € pour tous doit être versée à l’ensemble des aides-soignants et auxiliaires de puériculture travaillant dans les services de soins critiques et de réanimation.

Les personnels AS et AP avec la CGT revendiquent:

►Une formation d’adaptation à l’emploi des nouveaux arrivants (FAE) de 3 à 5 jours mise en place au niveau national

► Une adaptation du ratio des AS/AP par patient, actuellement de 1 AS/AP pour 4 patients, à 1 AS/AP pour 3 patients

► L’attribution d’une NBI de 25 points ou la prime de réanimation et de soins critiques de 118 € brut

► Une augmentation de salaire de 300 € immédiatement et l’augmentation du point d’indice de 20 % correspondant aux pertes cumulées de pouvoir d’achat depuis 2010

► La reconnaissance réglementaire des connaissances spécifiques

Les personnels et la CGT appellent les professionnels concernés à se mobiliser et à se rassembler

MARDI 1er FÉVRIER 2022 A 14 H 30 SUR LE PARVIS DE PASTEUR 2

Fraternellement

Stéphane GAUBERTI
Secrétaire général
CGT du CHU de NICE

gauberti.s@chu-nice.fr

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> LE 27 JANVIER L’HEURE EST A LA MOBILISATION DE TOUTES ET DE TOUS !

Communiqué commun des organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL appelant à une journée de mobilisation

Parcours : Théâtre de Verdure – Promenade Côté Nord jusqu’au niveau de la rue du Congrès – Demi Tour sur la Promenade – Promenade Coté Sud – Avenue Max Gallo – Jean Jaurès – Place Garibaldi

Personne ne peut ignorer le contexte social et économique, les augmentations des produits de première nécessité, de l’énergie comme de l’alimentation et, finalement, du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, demandeurs d’emploi et retraités.

Personne n’ignore que seuls les salaires, les pensions et les aides et allocations continuent de stagner ou même de baisser au regard de l’inflation, de décrocher par rapport aux qualifications, dans le privé comme dans le public.

Si, dans certains secteurs et entreprises, des mobilisations et des négociations ont permis d’obtenir des revalorisations de salaires, trop souvent encore les négociations sont au point mort ou les propositions des employeurs loin du compte.

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent s’en satisfaire et n’entendent pas en rester là !

Sans augmentation du point d’indice et du Smic, il n’y aura aucune avancée pour les salarié.e.s dont les mínima de branche sont actuellement en dessous du salaire de base minimum.

Les retraité.e.s, très massivement mobilisé.e.s, attendent toujours une réponse pour une augmentation immédiate de leurs pensions, retraites de base et retraites complémentaires, dont la dernière revalorisation a été plafonnée à un niveau très inférieur à l’inflation.

La jeunesse, confrontée à une grande précarité de vie et de travail, à la pauvreté, accentuées par la crise sanitaire, économique et sociale, doit obtenir une réponse à l’encontre des réformes libérales de l’éducation, de la formation, et de l’assurance chômage décidées par le gouvernement.

Il est urgent et indispensable d’agir toutes et tous ensemble, par la grève et les manifestations, pour l’augmentation immédiate de tous les salaires du privé comme du public, des allocations pour les jeunes en formation et en recherche d’emploi, ainsi que d’améliorer les pensions des retraité.e.s.

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL soutiennent les actions et mobilisations organisées dans les jours et semaines qui viennent pour exiger des augmentations de salaires et défendre les emplois et conditions de travail et appellent à une mobilisation interprofessionnelle sur les salaires et l’emploi le jeudi 27 janvier 2022.

Fraternellement

Stéphane GAUBERTI
Secrétaire général
CGT du CHU de NICE

gauberti.s@chu-nice.fr

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> INDEMNITÉ INFLATION DE 100€ C’EST BIEN, DÉGELER LE POINT D’INDICE C’EST MIEUX !

Les conséquences de l’inflation vont durement frapper le pouvoir d’achat des français, dont les hospitaliers. Les conséquences de l’inflation relayées par les médias font état d’augmentations de :

► + 15% pour l’énergie (gaz 28%, électricité 5,9%, carburant 25% depuis 2019).

► + 7.4% pour les transports.

► + 3% pour l’alimentation : café + 5%, pâtes + 10 à 20%,  viande +  5%.

Dans ce contexte, le gouvernement a décidé d’octroyer une indemnité inflation, soit une aide exceptionnelle de 100 € afin de tenter la préservation du pouvoir d’achat des Français les plus vulnérables et des classes moyennes face à la hausse des prix constatée au dernier trimestre 2021.

A noter que le gel du point d’indice des fonctionnaires contribue à la dégradation de notre pouvoir d’achat.

Le CHU de Nice a été chargé de verser l’indemnité en un versement exceptionnel de 100€, à chacun des bénéficiaires parmi ses salariés.

Pour être bénéficiaire, vous devez :

⇒ Avoir été en activité ou avoir perçu une rémunération du CHU de Nice au mois d’octobre 2021,

⇒ Avoir perçu une rémunération moyenne inférieure à 2000€ nets par mois, avant impôt sur le revenu, du 1er janvier 2021 au 31 octobre 2021, soit en moyenne 2600€ brut par mois sur la période.

Si vous êtes éligible, aucune démarche de votre part n’est à réaliser et le versement sera assurée automatiquement sur la paie  de février 2022.

Ce montant ne sera soumis à aucun prélèvement fiscal ou social. Il ne sera pris en compte ni dans les conditions de ressources pour le bénéfice des aides sociales, ni pour le calcul de l’impôt sur le revenu.

Le montant de l’indemnité n’est pas réduit en fonction de la durée du contrat ou si l’agent a travaillé à temps partiel.
Elle est due en cas de congés ou d’absence (arrêts maladie, congés maternité notamment)

Les salariés qui ont eu au cours du mois d’octobre plusieurs employeurs pourront recevoir l’indemnité auprès de l’employeur principal, préférentiellement celui avec lequel la relation de travail est toujours en cours, ou à défaut celui pour lequel ils ont effectué le plus d’heures durant le mois d’octobre.

Si vous êtes dans cette situation et notamment si vous cumulez plusieurs emplois à temps partiel au mois d’octobre 2021, vous devez vous signaler auprès de la DRH de site avant le 21 janvier 2022.

Dans le cas ou plusieurs employeurs vous verseraient l’aide de 100€, les indemnités indument versées vous seront réclamées directement par les services de l’état.

Si vous souhaitez de plus amples informations, une foire aux questions (FAQ) est régulièrement actualisée sur:
https://www.gouvernement.fr/toutes-les-reponses-a-vos-questions-sur-l-indemnite-inflation

Pour les salariés ayant des situations spécifiques, ils peuvent contacter le numéro national de service des renseignement en droit du travail
08.06.00.01.26

Pour information, le gouvernement n’a pas prévu de « dégeler » le point d’indice, une autre façon de souffler le chaud et le froid…

Contre les mesures d’austérité et les primes qui divisent, pour de réelles augmentations de nos grilles indiciaires, pour l’amélioration de nos conditions de travail et la reconnaissance du travail de tous les personnels hospitaliers, pour une véritable politique de formation et des recrutements pérennes statutaires, rejoignez la

CGT à la manifestation du 27 janvier 2022
10H30 devant le théâtre de verdure

Fraternellement

Stéphane GAUBERTI
Secrétaire général
CGT du CHU de NICE

gauberti.s@chu-nice.fr

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> VENUE DE MACRON – UN COUP DE COM !!!

En posant la première pierre du futur hôtel de police, alors  même que le permis de construire n’a pas été validé et que les travaux ne commenceront pas avant deux ans, le Président de la république s’offre un coup de communication en plein cœur de la pandémie.

Pour la CGT, il aurait été préférable de conserver l’hôpital St Roch pour maintenir une offre de soins adaptée en créant une maison de santé en plein cœur de la ville, prévue dans le projet initial lors de la construction de Pasteur 2.

La CGT a décidé de ne pas demander d’audience au Président de la République à l’instar d’autres organisations syndicales et appelle plutôt les salariés du CHU de Nice à se mobiliser dans les établissements le 11 Janvier 2022 pour faire valoir leurs actions pour une meilleure santé pour toutes et tous en 2022.

Fraternellement

Stéphane GAUBERTI
Secrétaire général
CGT du CHU de NICE

gauberti.s@chu-nice.fr

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> 11 JANVIER 2022 – AGENT(E)S, SALARIE(E)S, USAGER(E)S EN ACTION POUR UNE MEILLEUR SANTÉ POUR TOUTES ET TOUS EN 2022!

Les salarié·e·s des secteurs du sanitaire, médico-social et social public sont essentiel·le·s, notamment pour garantir à toutes et tous l’accès aux droits sociaux et aux soins. Les professionnel·le·s continuent à se dévouer corps et âme, pour assurer une prise en charge de qualité et un accueil digne, pour la population pendant cette période de pandémie COVID 19 qui persiste. Mais combien de temps, de crises faudra-t-il, pour que le gouvernement change radicalement de politique sociale et de santé ? À quand une réelle politique en matière d’emploi et de salaire, pour améliorer les conditions de travail des personnels ?

Plus de 100 000 lits ont été supprimés en 20 ans, les précédents gouvernements, comme celui actuel, sont essentiellement guidés par des logiques comptables et ont réduit les budgets de l’hospitalisation et supprimer des lits ainsi que des emplois, pour gérer l’Hôpital comme une entreprise à flux tendu. Celles et ceux qui nous gouvernent aujourd’hui osent même imposer un forfait de l’ordre de 20 euros aux patients qui auront eu recours au service des urgences sans se faire hospitaliser ! Au contraire, pour faire face aux épidémies qui risquent de se multiplier dans le monde et dans notre pays, il faut un hôpital public et un système de santé doté des moyens budgétaires nécessaires et d’un maillage d’établissements de proximité sur tout le territoire avec des capacités d’accueil par habitant·e·s de haut niveau pour toute la population.

Les syndicats CGT du CHU de Nice se tiendront à disposition des salariés de 12H à 14H sur:

Pasteur

Distribution de tracts et rencontre avec les salariés devant le self de Pasteur 2

Cimiez

Distribution de tracts et rencontre avec les salariés devant le self de Cimiez

Archet

Distribution de tracts et rencontre avec les salariés devant l’Archet 1

Les personnels hospitaliers et de l’action sociale, des services publics doivent accomplir leurs missions au détriment parfois de leur propre santé et vie. C’est grâce à leur dévouement et leur professionnalisme, à leur total investissement pour prendre en charge au mieux la population que nous sortirons de la crise. Il est temps qu’on leur l’on donne des moyens supplémentaires qu’elles et ils revendiquent. Le gouvernement doit changer totalement de politique en matière de santé et amorcer une rupture qui mette l’hôpital public au centre de ses préoccupations et de ses investissements avec une loi des Finances et une loi de la Sécurité Sociale qui répondent « aux moyens selon les besoins ».
L’intérêt général, la santé de la population et des salarié·e·s sont une richesse et non un coût !

La crise sanitaire, le confinement ont engendré une crise sociale avec des répercussions sur l’emploi et toute l’économie qui vont nous impacter et avoir des conséquences néfastes sur plusieurs années. L’hôpital public et les établissements du sanitaire, du médico-social et social, manquent de personnel. Ces secteurs d’activités pourraient être un fort vecteur de résorption du chômage. La CGT exige immédiatement le recrutement de 4 000 000 d’emplois pour améliorer les conditions de travail des salariés·e·s et assurer une meilleure prise en charge des personnes dans ces établissements.

La CGT, avec d’autres organisations, est à l’initiative de la pétition européenne « # Pas de profit sur la pandémie » pour la levée des brevets des vaccins et un pôle du médicament public, car la sortie de crise ne pourra pas se faire en laissant une partie de la planète sans accès aux vaccins et différents traitements anti-Covid 19.

Nous exigeons de véritables négociations sur les revendications suivantes :

► la formation et l’embauche massive de personnels,

l’amélioration des conditions de travail des salarié·e·s et agentes,

l’augmentation des salaires pour toutes et tous, l’égalité salariale entre les femmes et les hommes, la revalorisation des filières à prédominance féminine, ainsi que l’extension des 183 euros aux salarié·e·s exclu·e·s du Ségur de la Santé,

la réduction du temps de travail à 32 h et la reconnaissance de nos métiers par un départ anticipé à la retraite,

►  l’arrêt des restructurations incessantes et délocalisations/suppressions de services, de lits et d’établissements,

un financement des établissements de santé et d’action sociale, de la Sécurité Sociale et de la protection sociale à la hauteur des besoins de la population,

la levée des brevets du vaccin et médicaments Covid 19.

Toutes et tous ensemble, salarié.e.s et usagè.r.e.s dans les actions de mobilisations et de grèves proposées le

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent se satisfaire de la situation actuelle et n’entendent pas en rester là !

Elles soutiennent les actions et mobilisations organisées dans les jours et semaines qui viennent pour exiger des augmentations de salaires et défendre les emplois et conditions de travail et appellent à une mobilisation interprofessionnelle sur les salaires et l’emploi le jeudi 27 janvier 2022.

Fraternellement

Stéphane GAUBERTI
Secrétaire général
CGT du CHU de NICE

gauberti.s@chu-nice.fr

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> CGOS – UN ADMINISTRATEUR CGT SE MET A VOTRE DISPOSITION

POUR VOUS AIDER DANS VOS DIVERSES DÉMARCHES ET DEMANDES DE:

Création du dossier CGOS,

Renouvellement du dossier CGOS,

Demande d’aides remboursable et non remboursables,

Demande de prestations sociales (chèques vacances, chèques cultures, billetterie, etc…),

Aide pour le complément maladie,

► Renseignements sur toutes les prestations auxquelles vous pouvez prétendre (vacances, maladie, décès, retraite, naissances, etc…)

La permanence se fera sur RDV le:
Mardi de 9h à 12h et de 13h30 à 15h30
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HÔPITAL DE CIMIEZ

 4 AVENUE REINE VICTORIA – LOCAL CGT

TEL: 04.92.03.44.73

Fraternellement

Stéphane GAUBERTI
Secrétaire général
CGT du CHU de NICE

gauberti.s@chu-nice.fr

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> PÉTITION – NON AU FORFAIT URGENCES

C’est inacceptable : les assurés ne peuvent être rendus responsables du manque de médecins dits « de ville » ou de recours possibles à des soins de proximité qui les obligent à se rendre dans les services d’urgences. Ils ne peuvent être rendus responsables des fermetures de lits à l’hôpital, du manque de personnels soignants dans tous les services…

La CGT, au contraire, fait des propositions pour développer l’accès aux soins de proximité, qu’ils soient programmés ou non.

Elles s’appuient notamment sur la création de Centres de santé pluri disciplinaires (médecins généralistes et spécialistes, infirmiers, radiologues …) dans le cadre du service public.

Je suis contre le forfait urgence

Je demande qu’il soit retiré de la loi de financement de la Sécurité sociale

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